Les rouleaux de réglisse garderont toujours la même saveur

 Les rouleaux de réglisse garderont toujours la même saveur de Gueguen Manuella.

Comment commencer ma chronique ?

Déjà par j'ai lu cette histoire en avion de Californie au Colorado, en même pas deux heures.

L’histoire, toute l’histoire est immense, intense. Mes larmes n’ont pas cessé de couler sur mes joues, j’ai aussi souri, j’ai été émue, transportée par l’émotion et je n’ai pas décroché avant la dernière page !

La plume de Manuella m’a touchée, bouleversée.

Même si c’est une fiction, nous pouvons imaginer le moindre détail d’une telle réalité, faire face à tant d’amour, de compassion, d’amitié, la vraie, celle qui dure.

J’ai pu m’identifier à Agathe, aussi à Juliette.

Je ne suis pas née sous X, par contre née sans père !

Les recherches entreprises ne sont pas identiques, mais le final est le même.

J’ai moi-même fait des démarches pour aller de l’avant avec cette même pensée, cette photo.

Un visage à poser sur le mien. J’ai donc été troublée de croiser le destin de Juliette.

Merci pour ce partage d'émotions Manuella, de simplicité aussi, des mots bien choisis, de cet élan d’amitié et le prolongement de nos années.

Un dernier mot : j’ai adoré.

Continue de nous émouvoir de ta plume chère autrice. Tu as le mérite de finir tes livres en recevant de belles étoiles.

Pensez à la fête des papas

 Les Français lisent avant tout pour le plaisir et 95 % des femmes et 89 % des hommes ressentent un « plaisir de lire ».

Apparemment et d'après le magazine Cosmopolitain, les gens qui aiment lire sont plus attirants, êtes vous d’accord avec ça ?

Plus ouvert d’esprit, plus curieux, développe une curiosité intellectuelle, et serait de meilleurs amants.

Alors là, je veux votre avis sur ce sujet 😉

C’est toujours plus, plus, plus 😄

Moi ce qui m'intéresse quand j'écris un livre, et notamment mon autobiographie, est de savoir avant tout, si la personne va prendre plaisir à lire mon écriture, va aimer mon histoire, est-ce-qu’elle aidera mon prochain à se sentir moins seul et je me pose les questions suivantes :

• Seront-ils des gens ouverts d’esprit ?

• À l'écoute

• Bienveillants

• Des gens audacieux

• Des personnes fragiles, sensibles, émotionnelles

• Mon message d'espoir sera-t-il compris ?

• Seront-ils lire entre les lignes ?

• Vais-je sensibiliser les gens autour de la maltraitance ?

• Mon livre intéressera plus la gente féminine ou masculine ?

• Serais-je surprise de voir mon livre entre les mains d’un homme ?

Nerval disait : “L’intérêt des mémoires, des confessions, des autobiographies tient à ce que la vie de chaque homme devient un miroir où chacun peut s’étudier de ses qualités ou de ses défauts”

Personnellement, c’est aussi un moyen d'évacuer le trop-plein, celui qui déborde et vous empêche d’avancer dans votre vie d’adulte. C’est accepter de révéler, d'énoncer, une approche directe ou indirecte à de la psychanalyse. On résiste, on s’abandonne, on s’explique, on utilise son vocabulaire, c’est une révélation de soi, une œuvre et quelle œuvre !

Pour l’occasion de la fête des papas, je recommande mon livre autobiographique, car de nombreux écrivains masculins et féminins ont écrit avant moi sur leur vie. Et qu’il n’y a pas que les femmes qui lisent la vie des autres.

Pourquoi mon livre ? Et pourquoi pas…

• Pour apprendre certaines vérités, tabous et secrets

• C’est un excellent exercice littéraire

• Il y a souvent de nombreux sujets traités

• Apprendre et comprendre

• Une belle remise en question

Profitez de l’histoire monsieur 😊

L’amour c’est quoi ?

L'amour ce ne sont pas seulement deux personnes, c’est aussi aimer son chien, son voisin, aimer les fleurs, écouter le chant des oiseaux.

L’amour, c’est aussi de l’amitié, de la confiance, du soutien, de l’écoute, de la patience,

des remises en question.

L’amour s’est échangé nos valeurs, nos différences, l’amour, c’est être toujours attentif aux besoins de l’un et l’autre.

L’amour, c’est ne jamais oublier qui on est, se respecter tel que nous sommes et

ne jamais essayer de changer l’autre.

Et quoi qu’il arrive, dans la maladie, dans la joie, avec nos peines, nos malheurs, nos humeurs,

l’autre est là à côté de nous.

L’amour, c’est une palette de couleur, parfois semer d’embûches, parfois,

nous empruntons des chemins rocheux, nous glissons sur des plaques de glaces,

nous transpirons, ou nous avons très froid.

Mais une chose est sûre, c’est quoi qu’il arrive avec le grand amour, ses bras vous réchauffent,

vous protègent, contre vent et marée, contre les tempêtes, les bourrasques de vent, les intempéries.

Ses lèvres vous émeuvent, vous supplient, vous apprécient, vous admirent.

Son regard tendre, doux, affectueux et fougueux, vous allume de plaisir, vous transperce d’émotion,

vous adore tels que vous êtes.

Et plus que tout cet amour éternel vous accompagnera dans votre dernier souffle.

Il est votre compagnon de route, votre époux, votre meilleur ami, votre confident et aussi le papa de vos enfants.

Merci mon amour. Bonne fête des papas

En mode lecture

 A vrai dire depuis mon retour de France, je n’ai rien lu. Je n’arrive pas me mettre en mode lecture ✍️

J’ai fini les deux livres de @gueguenmanuella lors de mes voyages en avion, j’ai écouté de la musique, j’ai écrit quelques nouvelles, parler d’amour, de relation, de conflits, partager mes sentiments. Sans ouvrir un nouveau un livre et pourtant.

J’ai acheté des livres en France, ceux que je ne trouvais pas ici aux États-Unis, j’ai aussi une sélection dans mon kindle. 

J’hésite entre choisir les livres en papier, pour en tenir un entre mes mains, et tourner les pages ou ceux dans ma liseuse, éclairés, agrandissant les lettres, qui attendent depuis un long moment. 

Version papier : 

• - les dominos de la vie de cette incroyable  autrice qu’est Laure Manel

• - Les os des filles de Line Papin que je souhaitais découvrir depuis un certain temps !

• - Sara perche tu ami de Serena Giuliano, fan juste parce que j’aime l’Italie et son accent chantant.

• - Des matins heureux de Sophie Tal Mem, la Bretonne qui sait me rappeler mes origines.

• - Il nous restera ça de la grande et virtuose Virginie Grimaldi

• - La chambre des merveilles et Les extraordinaires de Julien Sandrel, ma dernière petite trouvaille et merci les blogs littéraires pour leur chronique.

• - Noa de Marc Levy, celui que je suis depuis un certain temps !

Alors pourquoi hésiter me diriez-vous, car ce ne sont que de bons écrivains avec d'incroyables personnalités.

Et puis ces livres qui peuvent me suivirent partout dans cette merveilleuse machine qui accumule des titres comme :

• - Le temps des orages de Charlotte Link

• - Je ne cours plus qu’après mes rêves de Bruno Combes

• - Le premier jour du reste de ma vie de Virginie Grimaldi

• - Le bonheur se cache parfois derrière les nuages de Sonia Dagotor, j’ai tellement apprécié les derniers titres de cette somptueuse autrice.

• - La vie est belle de Clarisse Sabard

• - Le tourbillon de la vie d'Aurélie Valognes

Lequel me conseillez-vous, lequel avez-vous lu ?

Bon finalement, je vais lire 😉

Ma présentation

D'après l’idée de Laura et les mots - Instagram @laura_et_les_mots
Ma présentation 🥂

Sonia Kermen, je suis née en Bretagne dans le Finistère, il y a pas mal d'années maintenant, faites vos calculs, je suis de 1974 😜 Du signe du gémeau, c’est quel mois déjà ? 😄 Tigre en Chine chinois, ascendant balance… Et je balance pas mal !
J'apprécie de remuer du popotin, fan de Zumba et de musique. Avec un ADN Irlandais, Écossais et du Pays de Galles, j'ai un caractère bien trempé. Et pourtant, je suis sensible et émotionnelle. Après des études de psychologie, et assistante maternelle, j’ai été institutrice dans différentes écoles au Colorado. J’adore la photographie, le dessin, lire, la cuisine surtout française, le chocolat, le thé, le bon vin, la randonnée et avant tout, je voue un amour indéfinissable à ma famille et à l'écriture.
Ma saison préférée est le printemps pour la naissance des fleurs, l'accouplement des oiseaux, le vert. Ma fête est Noël, cette joie de décorer la maison, et attendre la venue du père Noël, la magie, les lumières féeriques dans les villes, la cheminée, les traditions, les marchés de Noël. Je vis depuis 2008 aux États-Unis. J'ai vécu 11 ans en Californie, sept ans à travailler dans les médias, à créer et mon image a même été utilisée pour un marketing. Depuis bientôt cinq ans, suite à un divorce, je vis au Colorado dans la nature, la fraîcheur du matin, de belles balades parmi les animaux sauvages en montagne. Avant d'être une écrivaine de livres bilingues pour enfants, une poétesse, et une autobiographe, je suis une maman de trois enfants âgés de 27, 23 et 14 ans. Marié à un homme merveilleux le jour de la Saint-Valentin en 2019, je le remercie chaque jour pour sa patience. L’écriture, c’est depuis que j’ai neuf ans. Avec cette âme passionnée, j’écris mes premiers poèmes à l'école, suivis de mes histoires bilingues avec mes deux personnages attachants, Enzo et Rose. Je trouve mon inspiration dans ma vie de tous les jours et celle de mes enfants. Je déteste les petits rongeurs, j’en ai peur 😔 Tout ce qui est hamsters, chinchillas, cochons d'Inde, souris, rats domestiques ne m’en parlez pas, merci. Je grimpe automatiquement sur la table, et le plus haut ou le plus loin possible. La raison ? Une visite chez une tante, et on ne m'avait pas prévenu qu’un hamster vivait en liberté, celui-ci est venu me chatouiller quand ma tête était adossée contre le canapé, j’ai hurlée à la vue de cette bestiole. Depuis, je dis : non merci…😄

Ma couleur est le bleu, mon chiffre porte chance est le 8 (comme la date de naissance de mes ainés) et c'est aussi le signe de l'infinie.  En avril 2023, mon premier livre autobiographique "Il y a toujours un commencement" est publié avec les éditions Vérone, et une belle aventure commence avec vous. Aujourd'hui, je me donne le temps d'écrire, de lire, de découvrir d'autre horizon, car après tout, il n'y a pas d'âge pour continuer d'apprendre 😉

La mer viendra effacer les mots sur le sable de Manuella

 L’originalité du livre de Manuella Gueguen édité avec les trois colonnes, est le titre “La mer viendra effacer les mots sur le sable” une longue phrase et le choix des chapitres avec une devinette derrière chaque mot.

Déjà les premières questions, pourquoi ce choix ? Comment cette phrase est-elle devenue le titre ? D'où vient ce sable ?

L’histoire est prenante dès le commencement. Nous pouvons tous être l'héroïne Charlotte, vivre la même histoire, survivre à son fardeau, être confronté à la même situation.

Nous pouvons nous cacher derrière notre passé, mais nous ne pouvons pas échapper à notre présent !

Les premiers mots qui me viennent sont : passé, souffrir, interrogation, effacer, avancer, construire.

Et puis on se pose encore une question : si j'avais vécu cette amnésie ?

On s’interroge sur les effets néfastes, sur nous-même, notre famille, petit ami, les amis, les rôles de chacun, vivre, supporter les regards des uns, les paroles des autres, les attentes aussi nombreuses qu’on en souffre.

Et viendra une femme qui vit la même situation, dans une époque différente, dans un âge avancé, en confit avec sa mémoire, et pourtant…

Ce livre est un vrai défi, d'honnêteté, de challenge, de remise en question.

Charlotte va s'interroger sur qui elle a été, et qui va-t-elle devenir.

L'histoire de Manuella, nous confronte sur un avant et sur un après. 

Doit-on nous souvenir ou pas ?

L'héroïne apprivoise ses peurs, ses doutes, et si j'avais été Charlotte, quel souvenir, j’aurais aimé préserver de cette aventure glaçante ?

J’ai apprécié la structure des chapitres, la rencontre avec les personnages, de la famille, et surtout une petite pensée à Suzanne.

La plume de Manuella est fluide, le livre se lit sans interruption. J’aurais aimé que les chapitres ne se terminent plus avec quelques détails de plus !

Je recommande cette belle plume, et cette jolie histoire bretonne qui nous amène à la découverte d’une ville aux maisons à colombages, la fraîcheur de l'océan, la caresse du sable, la joie de voir disparaître son prénom après le passage d’une vague, et la délicatesse des mots choisi par l’écrivaine.

Je vous laisse découvrir les tendres moments et les vérités que l’on peut oublier en vous offrant ce livre disponible sur toute les plateformes.

Petite chronique : Princesse autonome de Lola Zidi et publié avec les Éditions Fayard.

L’histoire nous donne cette envie de tourner les pages et de découvrir les chapitres suivants sans poser le livre sur la table de chevet.

L’écrivaine nous emmène dans un voyage passé, présent et futur.

Nous pouvons tous être une Mars, un peu désenchantée, fragile, perdue, avec des envies, des choix à assumer ou pas. Elle nous confie ses peurs, sa tristesse, sa mélancolie, mais aussi du suspens, des rebondissements. L'héroïne parle sans pudeur, sans cachoterie, avec ou pas ses remords en fonction du jour.

Personnellement, j’ai pu rapidement m’identifier à l’ héroïne, Mars, avec les jeux de hasard, de recherche, les exercices du jour et rechercher en moi cette princesse révoltée.

J’ai particulièrement appréciée ces nombreuses questions que nous nous posons toutes… Et une particulièrement, la confiance en soi, elle se mérite, elle s’invite, elle se gagne ?

Et puis, Mars c’est un peu de moi-même, j’ai longtemps cherché mon géniteur, celui qui volait dans les airs et je souhaiterais effacer mes ratures transformés en raté.

Les mots les plus puissants de Lola Zidi, nous rappellent combien le temps défile, combien il est important d’écrire, et que notre main est un outil magique !

Je souhaite longue vie à Princesse autonome, et de trouver un peu en paix en publiant bientôt mon autobiographie.

Après lecture du livre Princesse autonome, j’ai commencé par des recherches sur la belle artiste, Lola Zidi.

J’avais à plusieurs reprises lu quelques vers imprégnés d’une douceur poétique et musicale.

Je devais aller à la rencontre de l’auteur.

Lola Zidi m'était jusque-là inconnue. Et comme si l’histoire s’imposait à moi, je découvrais la sortie de son roman le 8 février, une date symbolique, était la date d’anniversaire de mon fils.

Mon cœur s’est emballé, il n’y avait pas de hasard. J’ai été agréablement surprise de lire l’accomplissement de cette femme.

Évidemment, tout le monde connaît “Commissaire Moulin” et Yves Rénier. Seulement, moi dans mon enfance, adolescence et mes premières années d'adulte, je ne regardais pas vraiment la télé. Mon terrain de jeu était un arbre, ma passion était un cahier et un stylo, et pour m'évader, j’avais des écouteurs aux oreilles, avec le son de JJ.Goldman.

Consécutivement, j’ai lu les articles, les messages, les chroniques, et séduit par les mots écrits par vous, amis blogueurs littéraires.

La jeune femme sur la couverture du livre m’appelait, et si je devais recommencer, je lirai à nouveau. Sans hésitez, je retournerai chercher cette belle personne humaine qu’est son auteur, plus inconnue aujourd’hui et bien plus proche de moi que je ne l'espérais.

 

Merci Lola Zidi