Petite chronique : Princesse autonome de Lola Zidi et publié avec les Éditions Fayard.

L’histoire nous donne cette envie de tourner les pages et de découvrir les chapitres suivants sans poser le livre sur la table de chevet.

L’écrivaine nous emmène dans un voyage passé, présent et futur.

Nous pouvons tous être une Mars, un peu désenchantée, fragile, perdue, avec des envies, des choix à assumer ou pas. Elle nous confie ses peurs, sa tristesse, sa mélancolie, mais aussi du suspens, des rebondissements. L'héroïne parle sans pudeur, sans cachoterie, avec ou pas ses remords en fonction du jour.

Personnellement, j’ai pu rapidement m’identifier à l’ héroïne, Mars, avec les jeux de hasard, de recherche, les exercices du jour et rechercher en moi cette princesse révoltée.

J’ai particulièrement appréciée ces nombreuses questions que nous nous posons toutes… Et une particulièrement, la confiance en soi, elle se mérite, elle s’invite, elle se gagne ?

Et puis, Mars c’est un peu de moi-même, j’ai longtemps cherché mon géniteur, celui qui volait dans les airs et je souhaiterais effacer mes ratures transformés en raté.

Les mots les plus puissants de Lola Zidi, nous rappellent combien le temps défile, combien il est important d’écrire, et que notre main est un outil magique !

Je souhaite longue vie à Princesse autonome, et de trouver un peu en paix en publiant bientôt mon autobiographie.

Après lecture du livre Princesse autonome, j’ai commencé par des recherches sur la belle artiste, Lola Zidi.

J’avais à plusieurs reprises lu quelques vers imprégnés d’une douceur poétique et musicale.

Je devais aller à la rencontre de l’auteur.

Lola Zidi m'était jusque-là inconnue. Et comme si l’histoire s’imposait à moi, je découvrais la sortie de son roman le 8 février, une date symbolique, était la date d’anniversaire de mon fils.

Mon cœur s’est emballé, il n’y avait pas de hasard. J’ai été agréablement surprise de lire l’accomplissement de cette femme.

Évidemment, tout le monde connaît “Commissaire Moulin” et Yves Rénier. Seulement, moi dans mon enfance, adolescence et mes premières années d'adulte, je ne regardais pas vraiment la télé. Mon terrain de jeu était un arbre, ma passion était un cahier et un stylo, et pour m'évader, j’avais des écouteurs aux oreilles, avec le son de JJ.Goldman.

Consécutivement, j’ai lu les articles, les messages, les chroniques, et séduit par les mots écrits par vous, amis blogueurs littéraires.

La jeune femme sur la couverture du livre m’appelait, et si je devais recommencer, je lirai à nouveau. Sans hésitez, je retournerai chercher cette belle personne humaine qu’est son auteur, plus inconnue aujourd’hui et bien plus proche de moi que je ne l'espérais.

 

Merci Lola Zidi