Sophie Tal Men nous offre un roman sur les nouveaux départs de vie.
Nous avons tous vécu des matins parfois tristes et parfois heureux.
Ces pages sont positives, constructives avec vous-même et le regard que vous portez sur vous-même !
J’ai beaucoup aimé la plume de Sophie, une belle découverte.
Le charisme, la perfection de la plume nous enchantent et nous basculons très vite avec elle et ses trois héros aussi différents et complémentaires en quatre parties.
Je retiens aussi la création de l’histoire, la fragilité d’un avant et la reconstruction d'une après-maladie.
Marie, l'héroïne bretonne tout en aidant les autres, va finalement apprendre à s'écouter, se regarder, s'apprécier à sa juste valeur. Il faut savoir écouter, mais aussi être entendu, c’est le message que je retiens.
Les mots sont bien choisis, parlant de la tétine humaine, et m’ont ramené en arrière quand j’allaitais mon fils, cet endroit précis devient le centre du monde quand on est maman et puis gagne en sensualité à n'importe quel âge.
Cette sincérité des lignes parlant avec sensibilité de la poitrine, de mamelon, et oser parler de son rôle important, et cela, à tout âge, renforce mes propres convictions que j’avais avec mon corps.
Petite note spéciale à Marie, l'héroïne : à 50 ans, on n'a pas toujours le cul flétri et les tatouages ne sont pas tous rabougris 😉
Bravo pour ces héros, Guillaume, Marie et Elsa. Sympathique, dramatique, rêve, espoir, et puis tout arrive tôt ou tard… Comme les nouveaux départs.
J’ai tout aimé, les chapitres, la puissance de l’histoire et les petits messages et clins d'œil d’autres auteurs.
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