Mon avis sur cette saga familiale provençale de trois ou de quatre générations en ce début de siècle 1900.
Ce livre est somptueux et très fort.1913 et son château d'Azérac, c’est une belle époque, et bienveillante au milieu des chevaux, des traditions arlésiennes et de secrets familiaux.
L’année 1913 et ce jour d’anniversaire de bonheur seront le dernier jour de bonté pour cette famille du sud de la France. Trahison, drame, révolte, humiliation, et malédiction vont précipiter cette famille dans un énorme précipice, un gouffre sans fin, quoi que 😉
Une dynastie de cavaliers qui va surprendre les grands fans de chevaux, d’histoire familiale, de suspens et de la découverte de la Camargue.
Avis aux amateurs… De grands frissons !
Quatrième couverture :
En parler provençal de ce début de siècle "mener Grand Batre", c'est mener grand train.
1913. Une fête est donnée au château d'Azérac pour les quatre-vingt-dix ans d'Eugène et les dix ans de son arrière-petit-fils Guilhem. La Belle Epoque scintille, les chevaux piaffent, les Arlésiennes jouent de l'ombrelle et de l'éventail, les félibres improvisent, la farandole s'élance...
Pourtant, ce jour de gloire sera le dernier jour de bonheur pour les Cabreyrolle d'Azérac. L'ère industrielle leur a fait rencontrer l'argent et son terrible pouvoir. Pour la première fois, un Azérac va trahir la terre. Alors une malédiction terrible va précipiter cette puissante famille dans la ruine et le malheur. Tout semble perdu. Mais, à travers les épreuves, les Azérac, race de fer, dynastie de cavaliers et de cavalières, sauront rendre sa splendeur à la manade.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire