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mercredi 4 novembre 2020

Cultivons les cinq principes pour plus de sagesse dans notre rôle de parent.

 Cinq Leçons que tous les parents devraient adopter pour devenir un meilleur parent, et apprendre les concepts d’être : zen, compatissant et conscient. 

Cultivons les cinq principes pour plus de sagesse dans notre rôle de parent.

1. Reconnaître qu’un esprit stable est un esprit puissant : la plupart des gens ont des états mentaux qui fluctuent en fonction de leur perception des événements quotidiens comme « bons ou mauvais »: une accolade et un sourire de votre fille est bon, tandis qu’être coincé dans le trafic et être en retard pour une réunion est mauvais. Le premier conseil vous encourage à répondre à tous les événements avec sérénité. Comment avoir de la force d’esprit : souvenez-vous que vous avez le contrôle. Choisissez votre attitude. Redécouvrez votre enthousiasme pour la vie. Choisissez vos combats intelligemment. Rapprochez-vous des gens qui comptent le plus pour vous. Soyez reconnaissant pour ce que vous avez. Ne prenez pas trop les choses au sérieux. Souvenez-vous que tout n’est pas définitif. Faite du sport et éloignez-vous des vices tel que la cigarette ou des drogues. Posez-vous toujours des questions et n’arrêtez jamais d’apprendre. Aidez à répandre l’amour, ou que vous soyez. 

2. Adopter le concept de l’impertinence : dans notre culture, la plupart rejettent l’idée que les choses sont en constante évolution. Ils se complaisent dans leur routine, l’habitude, la cohérence. Le deuxième conseil est l'impertinence. Il est bon d’apprendre aux enfants que le changement est naturel et que la meilleure façon d’appréhender l’instabilité est d’être reconnaissante pour chaque jour qui passe, parce que chaque jour est différent et unique. L’impertinence est un mot artificiel, c'est une construction pour mettre en garde contre la conviction que tout ce qui nous entoure et tout ce que nous vivons est permanent. Il est important d’accepter cette impertinence, parce que c’est la véritable nature de notre existence et la véritable nature de tout l’univers : tout ce qui apparaît est voué à disparaître et tout change constamment. 

3. Apprendre à accepter l’anxiété : en raison de l’impertinence, une anxiété sous-jacente existe toujours. C’est une émotion normale que chaque être humain ressent et la souffrance se dissipe lorsque vous la reconnaissez et l’acceptez. Le troisième conseil est qu’il est bon d’apprendre aux enfants que l’anxiété est une expérience normale en tant qu’être vivant dans un monde impertinent, qu’il est possible de surmonter positivement. Vous ne devez pas lutter contre l’angoisse, mais vous devez tenter de l’apprivoiser. Quand vous aurez accepté cette réalité, et que vous commencerez à adopter le bon état d’esprit, vous remarquerez une très nette diminution des symptômes liés à l’angoisse, et diminuerez le nombre de crises de panique. Nous avons environ 50 000 pensées par jour. Pour que celles-ci soient positives, vous devez d’abord « nourrir votre esprit » avec du positif : ayez des conversations positives, lisez des citations positives, des livres positifs… 




4. Faire attention aux émotions : on nous encourage à prêter attention aux fluctuations de la vie. Pour cette raison, on considère que les émotions ne sont pas « bonnes ou « mauvaises » mais sont des messagers qui informent sur votre disposition spirituelle en fonction des circonstances du moment. Le quatrième conseil est d’apprendre aux enfants à traiter leurs émotions de la façon la plus naturelle, c’est-à-dire de les vivre jusqu’à ce qu’elles passent. Les parents ne doivent pas interrompre ce processus. Quelques astuces : contrôler votre environnement. Prenez conscience du fait que devenir insensible aura un coût. Évitez les gens, les situations et les événements que vous n'aimez pas. Prenez le contrôle des situations que vous n'aimez pas. Trouvez-vous des distractions. Faites, une pause des appareils électroniques. Comportez-vous de façon neutre, même si ce n'est pas ce que vous ressentez. Répétez les situations qui pourraient vous provoquer des douleurs émotionnelles dans le futur. Ne, vous n'en voulez pas parce que vous montrez ce que vous ressentez. Prenez du temps avant de réagir. Tenez un journal. Inspirez profondément. Évitez l'utilisation de substances.




5. Croire et éveiller le potentiel : beaucoup de parents, aujourd’hui cherchant à protéger leurs enfants de la vie et cela est un instinct naturel. Cependant, quand les enfants font leur propre expérience, ils deviennent plus susceptibles de résoudre des difficultés personnellement et de construire leur résilience face aux vicissitudes de la vie, sans avoir besoin d’être secourus par un parent. En surveillant vos enfants, vous posez du cuir pour les protéger des obstacles sur leur chemin, plutôt que de leur apprendre à faire leurs propres mocassins, afin qu’ils puissent l’adapter à leur réalité et forger leur propre capacité naturelle de résilience. 


C'était le dernier et cinquième conseil... Croire et éveiller votre enfant à son monde bien à lui.

mardi 25 août 2020

Un enfant ayant des troubles d'apprentissage

Mon fils Emilian avait 7 ans quand nous avons emménagé de France aux Etats-Unis.

Il avait un retard de langage bien avant d’arrivée en Californie, et pourtant lisait à 5 ans.

Il a été suivi en France par une orthophoniste qui a suspecté un problème neurologique.

Mais c’est seulement à 9 ans aux USA qu’il a été diagnostiqué avec un problème d’Aphasie.

L'aphasie est un trouble du langage allant de la difficulté de trouver ses mots à une perte totale de la faculté de s'exprimer. Elle est causée par dommages du cerveau provoqués dans la majorité des cas par un accident vasculaire cérébral.

Nous avons eu une chance incroyable d’être entouré par une équipe extraordinaire en Californie de différentes orthophonistes consacré à la progression du langage ou a l’éveille du langage, avec des instituteurs dotés d’une grande patience et une dévotion pour leur élève.

Emilian a suivi en plus des heures scolaires, une séance chaque jour d’orthophonie pour apprendre l’anglais, avec des livres d’enfants d’année maternelle, à connaître certaines expressions, et d’enrichir son vocabulaire et surtout a s’accepter avec ça différence, mais quelle différence ?

Pendant ses trois années Élémentaires, il a progressé, prenant de l’assurance et confiance en lui.

Nous avons été plusieurs fois convoquées à l’école pour discuter de ses progressions. La lecture était et c’est toujours difficile pour lui sans aucune image pour comprendre l’histoire d’un livre.

Emilian ne serait jamais verbal, ou bon en rédaction, par contre il est visuel, corporel, instinctif, passionné et doué manuellement. 

Nous nous sommes aussi aperçu de ses qualités sportives, il était doué dans n’importe quel sport, sachant tenir une raquette de tennis et jouer comme s’il avait pris des cours pendant plusieurs mois.

Sur un terrain de football, il n’attendait pas que son entraîneur lui donne sa position sur le terrain qu’Emilian était déjà placé. Il avait des yeux derrière la tête et pouvait envoyer le ballon à un joueur avant même qu’on le lui demande. Il courait très vite sans éprouver de la fatigue.

Il a participé pendant un an au Parkour. Le parkour est une discipline d'entraînement utilisant le mouvement qui s'est développé à partir d'un entraînement militaire sur un parcours d'obstacles. Les praticiens, appelés traceurs, visent à se rendre d'un point à un autre dans un environnement complexe, sans équipement d'assistance et de la manière la plus rapide et le plus efficace possible.

Il devait jouer dans les mêmes équipes sportives, pour se sentir en sécurité et se détendre. Il a toujours eu besoin d’apprécier ses entraîneurs pour leur faire confiance. Et les entraîneurs de comprendre et apprivoiser cet enfant pas comme les autres !

Il était capable de jouer du piano avec YouTube. Son professeur, était toujours surpris de ses capacités à reproduire chaque note. Par contre impossible pour lui d’apprendre ou de déchiffrer les notes de musique sur une partition.


Il a été capable de peindre, artistiquement et toujours avec modernisme, avec une ouverture d'esprit et peint de l'abstrait.

Il a donc fallu changer notre façon de le regarder, de lui parler et d’écouter ses émotions, le rassurer. Emilian est un enfant en manque constant de sécurité. Il doit vivre au même endroit, n’aime pas voyager, il a toujours les mêmes amis, et ce n’est pas un enfant communicatif et social.

Il peut donc subir le regard de l’autre, celle de l’incompréhension ou de la différence, et de l’incompris. Il a souvent été jugé et pourtant, il progresse avec son développement de l’aphasie comme tout autre être humain. Il recherche un emploi, une stabilité dans sa vie, et dans ses amours. Il se construit doucement, mais sûrement !
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Le problème que nous avons vécu avec Emilian et le bilingue et que nous avons du choisir et imposer à mon fils une concentration sur une langue. En effet, sa mémoire n’est pas la même que la nôtre, et il ne pouvait pas progresser à la même vitesse que ses camarades de classe.

Emilian continue de parler Français, l’écrit comme il le parle, c'est-à-dire sans verbe, sans adjectif, sans une orthographe et de grammaire et déchiffre les mots pour la lecture sans vraiment tout comprendre. 

Il parle anglais comme ci, c’était sa langue maternelle, l’écrit et le lis. Il a progressé, et s’est épanoui au collège et ensuite au Lycée avec toujours une aide pour la progression au langage.

S’il n’est pas un enfant comme tous les autres, sa première qualité, c’est qu'il n’est pas juste ordinaire, il est à mes yeux extraordinaire.


Connaissez-vous un enfant présentant les mêmes symptômes ou rencontrez-vous également avec votre enfant des troubles d'apprentissage?

mercredi 19 août 2020

La passion, combien de temps, pourquoi, comment ?

 Vous aimez écrire depuis combien de temps, pourquoi, comment ? 

Ce sont des questions pertinentes, mais ce n'est pas toujours facile d'y répondre.

J’ai pris mon stylo pour la première fois à neuf ans, après la publication de poème réalisé à l’école, un poème par élève pour une association en Afrique. 

J’ai écrit avec passion et je n’ai pas cessé ensuite d’utiliser mon stylo. 
Un poème n’était pas suffisant, j’en ai donc écrit deux, puis trois et ainsi de suite.

Mes grands-parents m'ont offert ma première machine à écrire le Noël de mes 10 ans.
J’ai commencé à l'utiliser pour les recueils jusqu’à l’adolescence, j’ai continué d'écrire des chansons à l’âge de la découverte avec l'aide de mon premier ordinateur, et j’ai adoré me servir à nouveau de mon stylo pour mon fils, et de lui écrire des histoires d’enfants à l'âge adulte. 
À l’âge ou tout, vous semblerez possible, j’ai osé et j’ai publié avec ma maison d’édition 12 livres bilingues d’enfants, racontant la vie de mon enfant, entre réel et imaginaire. 






De nouveau, l'écriture me démangeait cette année avec la pandémie, la rédaction me manquait, de partager des articles sur mon savoir et mes envies, et surtout de vous connaître, d'en savoir plus sur vous.

 La plume à la main est apparue ‘Enzo Le Petit Aventurier’ la naissance d’un partage avec mon fils, d’une relation unique entre une mère et son enfant. La visite au zoo avec les questions, l’intérêt de la vie des animaux et pourquoi, comment, depuis combien de temps ? 
Un livre centré sur l'éducation, le bilingue, l'apprentissage d'une nouvelle langue, les émotions, l'amour, et l'imaginaire.



Il est né cet été, j'ai répondu à certaines questions que mon fils m'avait demandé et je vous invite à répondre à vos propres questions après la lecture de ce joli livre de couleurs et de nous raconter à votre tour, vos désirs d'écritures.

mercredi 22 juillet 2020

Très cher Coronavirus, très cher toi,

J'espère que vous et votre famille vous portez bien en ces temps intéressants.

Il y a encore des personnes qui pensent que les gouvernements, se paient notre tête.
Pensez-vous vraiment que c'est le cas ?
Pensez-vous vraiment que des êtres humaines peuvent mentir sur un sujet aussi grave que le COVID 19 ?
Que certaines informations de médecins sont erronées ?

Je ne peux rien confirmer, je ne suis pas médecin ou infirmière et encore moins politicienne.
Je suis comme vous, j'entends toutes les horreurs des derniers mois sur le COVID 19, je lis aussi et quand j'apprends les chiffres sur les derniers décès, il me semble que c'est hélas bien la réalité !
Cependant, il faut faire attention aux rumeurs, à certains articles de presse, à ce que vous pouvez entendre de votre voisin, et aux fausses informations.

Permettez-moi de vous appeler “égoïste” vous, madame et vous, monsieur.
Ce n'est pas seulement votre santé qu'est en danger, mais aussi celle des autres. Soyez plus vigilant, car le malheur n’arrive pas qu’aux autres, ils touchent n’importe quelle personne sur cette terre, qu’elle que soit sa couleur, quelques soit ses racines et son passé. Quelles que soient ses erreurs, ses doutes et ses peurs. 
Ce virus, il est présent et sans votre aide, il continuera de nous abattre les uns après les autres. 

Ce qui me fait réagir aujourd'hui, ce sont vous.
Nous sommes tous en guerre contre cette maladie. Ce sont des pays dans le monde entier qui souffrent. 
Le virus, ce n'est pas seulement un voisin, c’est un grand voyageur, qui parcourt notre monde !

Ce n’est hélas pas une simple grippe, comme certaines personnes peuvent encore penser, ou une simple toux, un simple essoufflement... Refuser la réalité, est un fléau !
Avec une grande émotion, je dis : acceptons ce que nous traversons tous. Des milliers de personnes ont vaincu et refusé de mourir du COVID. Alors, il est temps pour nous de nous serrer les coudes pour combattre ensemble le virus.
S'il vous plaît, rectifiez votre jugement en promettant d'être en sécurité pour sécuriser les autres !
Ne le laissez pas franchir les frontières, et s'il vous plaît, cessez de voyager avec vos doubles passeports pour forcer une barrière d'un pays !
Je dis : "Stop"
Les vacances, la famille et les amis attendront encore, demain est un autre jour !
Aujourd'hui, nous avons une grave situation à gérer, et ce n'est pas seulement un travail d'un médecin, d'une infirmière ou d'un politicien, mais bien le travail de tous les humains de notre terre. Appliqué les lois de santé !

Certains refusent de porter un masque, encore une fois, je ne peux pas rester indifférente.
C'est notre seule protection pour le moment.
Je suis une maman, une institutrice, un écrivain, et surtout une personne comme vous et je suis indignée de constater que notre peuple se refusent aux masques, a protéger leur vie, mais aussi celle des autres. 

Je suis en doute, avec certaines angoisses du futur, j'ai mes propres peurs et mes craintes. J'aimerai aussi comme vous, retrouvé une vie saine et reprendre mon chemin où il s'est arrêté il y a trois mois en mars 2020.
Je suis consciente, que nous allons devoir accepter certaines règles de vie, changer nos habitudes, et de ne plus penser qu'à soi-même, et pensez aux autres. 

Soyons fort ensemble, soyons solidaire des uns et des autres, soyons à l’écoute avec la première règle : être vigilant aux informations ! 


Protégeons-nous, protégeons les autres ! #restezchezvous #restezensecurite

- Sonia