lundi 14 août 2023

 Mamma Maria de Serena Giuliano

Mon avis : Je le recommande ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️


Je suis un peu comme Maria, et je vous dirais qu’il n’y a rien de mieux que de manger des lasagnes. De regarder l’eau de mer et le soleil pour vivre.

Et puis, je serais aussi Sofia, avec le cœur lourd, le cœur gros pour créer de belles rencontres et aider mon prochain.

C’est l'histoire de générations de femmes, de connaissances, d’amitiés, de cultures, de pays.

Ce livre parle d'amour, de tendresse, de rêve et d’espoir.

Serena a encore réussi à m'émouvoir.






Je voyage avec la plume de l'auteur. Écrit en poésie, je frissonne devant tous les détails, à travers le regard de Serena, je pars visiter l’Italie, je découvre de belles plages, le port de Salerno, les restaurants, la crique, les bars, la cathédrale, les terrasses, je salive devant les spécialités limoncello, ou les Pasta E Fagioli et je joue au scopa.


Je n’en dis pas plus, il va falloir que vous alliez glisser votre nez dans le livre de Mamma Maria, goûter à chaque spécialité, déguster cette histoire en appréciant l’amitié, la confiance, la résistance de quatre femmes.









Quatrième couverture : " Ciao, Sofia, qu'est-ce que je te sers ? Comme d'habitude ? Et j'ajoute un cornetto, parce qu'il faut manger, ma fille !

– Oui, merci, Maria. "

Je m'installe en terrasse, face à la mer, comme chaque matin depuis que je suis de retour en Italie. J'aime bien travailler au son des tasses qui s'entrechoquent. Et, au Mamma Maria, j'ai toujours de la compagnie. Il y a ceux qui viennent tuer le temps. Il y a les enfants qui rêvent devant le comptoir à glaces. Il y a les ados qui sirotent un soda, monsieur le curé, et, surtout, mes partenaires de scopa. Ici, on vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude ou écouter Celentano. Moi, je viens pour me persuader que j'ai bien fait de quitter Paris... et l'autre abruti.

Il fait quand même meilleur ici.

Et puis, on cherche aussi à profiter de la bonne humeur (ou non) de Maria, qui mène, comme une mamma, tout ce petit monde à la baguette. Bref, j'ai enfin retrouvé mon paisible village.

Enfin, paisible jusqu'au jour où...



Je confirme : “On aimerait tout un jour vivre à la dolce Vita, se prélasser sur les belles plages en sirotant un percoche de pêche, la sangria italienne avec Mamma Maria dans les mains.”


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