"Ciao bella" de Serena Giuliano - Éditions Pocket.
Comme beaucoup de lecteurs, je suis une adepte des livres de l’autrice, et j’ai apprécié cette petite histoire sympathique, pour sa narration captivante et ses personnages intéressants.
Il me semble que c’était le premier livre de Serena. J’ai été immédiatement embarqué dans cette aventure tumultueuse, à rebondissement.
Pas évidemment de se remettre en question, d’avouer ses défauts, d’être madame tout le monde.
On est facilement appelé par l’intelligence d’Anna, le réflexe de tout ramener à notre enfance, parce que finalement, nous devenons ce que nous sommes après avoir été le plus souvent une victime du temps qui passe.
Il faut se construire en tant qu’épouse et mère, va de l’avant après un drame, mais aussi en tant que femme indépendante.
On arrive à trouver le meilleur de nous en évacuant nos peurs d’une manière ou d’une autre. Pourquoi ne pas suivre une séance chez le psychologue comme Anna ? Lui raconter nos phobies, nos doutes.
On peut être fragile, comme Anna, peureuse comme Anna, forte comme Anna, pardonner comme Anna, nous serons quand même la personne que nous voulons être !
Beaucoup de mamans pourront se reconnaître dans un chapitre ou dans un autre. C’est un agréable moment de lecture. De rire, de joie, de larme aussi parfois, on est captivé, subjugué par ce roman pétillant d’humour avec un langage que nous utilisons toutes.
Une histoire fluide, de dérision et beaucoup de péripéties.
On retrouve comme dans chaque roman de l’autrice, une petite note italienne, les pasta, la limoncello et ce n’est pas pour nous déplaire.
J’ai apprécié et j’ai lu ce roman en trois heures de temps sans lever le nez du livre !
Quatrième couverture :
À quel point l'enfance détermine-t-elle une vie d'adulte ? Peut-on pardonner l'impardonnable ? Comment dépasser ses peurs pour avancer vers un avenir meilleur ?
Attention, la lecture de Ciao Bella pourrait avoir des conséquences irréversibles : parler avec les mains, écouter avec le cœur, rire de tout (et surtout de soi), ou devenir accro aux pasta al dente.
" C'est fort, c'est drôle, c'est tendre. " Virginie Grimaldi
" Un premier roman pétillant d'humour et d'intelligence. " Côté Mag
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